Le Petit Bandolais

Toute ressemblance avec des personnages locaux ne serait que pure coïncidence.

La Vie Politique à Bandol image
Bandol est une petite commune d’environ 9000 habitants située entre mer et vignes, touristique, paisible mais ayant la particularité de posséder en son sein une brochette d’individus très atypiques et folkloriques tous autant les uns que les autres mais ayant tous le même objectif ; être khalife à la place du khalife.
 
Prenons par exemple Mumu, la vedette locale. Elle s’agite à longueur de journée, prend des photos de tout et n’importe quoi et consacre son temps à la désinformation. Elle est du style à zoomer sur un trou de fourmis pour faire croire qu’une météorite est tombée sur la ville. Elle se plaint de tout mais ne propose rien et quand on lui demande quelle solution elle envisage pour régler tel ou tel problème, elle vous blackliste. Ici, on l’appelle la reine des Fake News et brasse tellement d’air que les contribuables se demandent si cette élue de la république, payée avec l’argent de leurs impôts, n’occupe pas un emploi fictif. Toutefois, Mumu a su s’entourer de Michou, le kéké boy de Bandol dont seules les supers mamies rêvent de l’avoir pour partenaire de tango. Elle bénéficie aussi du soutien de Guitou un Facebookeur excité constamment censuré par le célèbre réseau social tant sa prose est du niveau des caniveaux.
 
Pas très loin de Mumu, nous avons Floflo, l’épicière portuaire. Elle rêve de s’asseoir sur le trône au point que c’est devenu une obsession. Floflo, c’est celle qui a abandonné ses électeurs en plein mandat alors qu’elle leur promettait de les représenter jusqu’au bout. Elle est autant excitée que Mumu mais, en plus, elle se prend pour la miss univers de la plage. Malheureuse ses piètres talents d’oratrice et sa méconnaissance de la législation française, malgré toutes les leçons qu’elle a prises, et sa faible popularité locale l’ont cantonné à se cacher derrière Martine de Bandol (ou d’autres pseudonymes), une facebookeuse qui passe sont temps comme Mumu à désinformer sur la vie locale. Heureusement que Floflo bénéficie de la popularité de son matelot car sans lui on demanderait encore qui elle est et ce qu’elle veut. Floflo est aussi la reine de la combine puisqu’elle a su entourlouper l’ancien édile sans aucune difficulté avant de le trahir quand elle comprit qu’il allait être reléguer au rang de simple conseiller municipal d’opposition. N’ayant pu faire alliance avec Mumu, vu son caractère exécrable, et ayant compris qu’elle ne gagnerait jamais seule une élection, elle a jeté son dévolu sur un brave gars, comme on dit dans le Sud, qui n’y comprend pas plus à la vie locale.
 
Marco, c’est le pantin de Floflo. Un innocent tout droit débarqué de Toulon qui avait rarement mis les pieds à Bandol auparavant. D’ailleurs, on dit qu’il habite toujours à Toulon pas très loin de l’Eglise Saint Georges dans une magnifique villa qui porte le nom de son Saint préféré. Appelé de Floflo et de quelque uns de ses acolytes peu recommandables, il pense que son père fut député de Bandol. Personne ne lui a expliqué qu’il n’y a pas de député à Bandol mais une 4ième circonscription du Var. Autrefois appelé le kamikaze, il sema toutefois, dans les années 2000, la zizanie dans la vie politique toulonnaise ce qui avait entraîné son exclusion illico presto du parti dont il était membre. Entre Toulon et la capitale où il est aussi avocat au barreau de Paris, on se demande quant et comment ce parachuté pourra exercer son mandat de magistrat s’il accède à la fonction d’édile. Mais pour Floflo, c’est l’aubaine. Elle pourra siéger sur le trône municipal en son absence à condition que son popotin puisse s’y insérer, ce qui n’est pas certain ! Marco bénéficie aussi du soutien de Fred, mal aimée des bandolais puisqu’elle n’a jamais dépassé les 8% au suffrage universel. Fred et Floflo, c’est le grand amour du moment. La question est de savoir combien de temps ça durera.
 
Pierrot, c’est l’ex de Fred. Lui aussi rêve d’être khalife à la place du khalife. Mais avant tout, il rêve de prendre sa revanche pour avoir été viré par celui dont il était autrefois le directeur de cabinet. Avec Pierrot ça marche droit comme dans l’armée. Ce n’est pas un mauvais bougre. Son seul défaut, c’est ses colistiers dont les QI sont proches du zéro absolu. Véro, on ne sait pas si elle s’éclaire à tous les étages. Quant à Lola et Doumé, les Bonnie and Clyde de Bandol, insatisfaits à longueur de journée, râleurs, ils dégainent sur tout ce qui bouge sans même savoir pourquoi. On les appelle aussi les commères bandolaises.
 
Puis on a Lolo, le vendeur de caissettes. Lolo c’est le type qui ne comprend pas grand-chose à la politique, ni même aux problèmes de la commune mais qui à la moindre occasion dégaine son mètre ruban pour expliquer qu’avec quelques centimètres de plus on pourrait résoudre le problème. Lolo se prend pour le Richard Gere de la plage mais il est loin de lui ressembler, à moins de le regarder de très très loin. Il déambule partout, sans succès puisque pas grand monde ne le connaît. Il est toutefois connu pour avoir trahi ses électeurs en rejoignant le camp de l’opposition dont ses électeurs ne voulaient pas entendre parler. Lolo cherche des colistiers. Il en déjà trouvé un peu recommandable. Espérons que les autres soient de meilleure qualité.
 
A Bandol, on a aussi Laeti, une ancienne associée de Jojo. Si pour l’instant, elle n’a pas encore fait connaître ses intentions, ses fidèles colistiers commencent à s’agiter en coulisse. Parmi eux, on retrouve JM, l’excité, Phiphi le failliteur qui passe son temps à animer un blog de désinformation et JY le faux-derche. C’est à cause d’eux, alors élus de la majorité, que le budget municipal n’avait pas été voté en 2015, entraînant par voie de conséquence une augmentation de 8,5 % des impôts locaux. Avec cette équipe de bras cassés, Laeti n’est pas prête de gagner une quelconque élection municipale si l’envi lui en prenait.
 
Enfin, on a Jojo, l’édile. Jojo c’est un type qui ne communique pas beaucoup mais ce qu’il dit il le fait. On ne comprend pas toujours ses choix mais le résultat est satisfaisant. Jojo a le mérite de ne pas avoir augmenté les impôts sous sa mandature. D’ailleurs, aucun des prétendants au trône n’a fait, à ce jour, une telle promesse gravée dans le marbre. Les autres promettent monts et merveilles avec l’argent des contribuables bandolais. Jojo a décidé de faire des économies. Certes, ça ne satisfait pas tout le monde mais par temps de crise vaut mieux rester sur une base d’imposition qui reste une des plus basses des communes du Var. D’ailleurs, le site de l’argus des communes récompense notre Jojo pour sa bonne gestion, ce qui est rare par les temps qui courent et le JDN indique que la dette par habitant n’a jamais été aussi basse. Jojo a toutefois un défaut ; celui de se mettre à dos tous les mafieux du coin qui pendant des années ont bénéficié de privilèges communaux. Il n’est aussi pas très ami avec le mis en examen du village voisin, ce qui lui vaut quelques coups bas dont ses challengeurs tentent d’en tirer profit.
 
Autour de tout ce petit monde bandolais, on a aussi quelques énergumènes qui pourraient figurer dans l’almanach universel. Par exemple, on a Gégé le petit et son acolyte Nat qui passent leur temps à déposer recours sur recours pour bloquer tous les projets mis en œuvre par la municipalité. Même s’ils sont systématiquement déboutés, ils ralentissent considérablement le démarrage des réalisations. On dit même qu’ils déposent des recours auprès du tribunal quand ils vont couler un bronze.
Janie, c’est la groupie de l’aviateur qui jadis régna sur Bandol. Janie est une pseudo-écrivaine, qui n’a jamais rien écrit d’intelligent mais qui anime un blog que personne ne lit. Ses douteux talents littéraires lui ont permis de la garder à très grande distance du prix Goncourt qu’elle rêvait pourtant d’avoir et l’ont conduit à exercer son métier dans un bahut miteux de la Seyne-sur-Mer qui était le seul à la vouloir par manque de volontaires. Janie émane la joie et la gentillesse. Il n’y a qu’à la regarder. Certains l’appellent Folcoche, d’autres, l’eumycète en référence à sa coiffure. Quoi qu’il en soit, ça ne doit pas beaucoup rigoler à la maison.
 
Enfin, on a les Gratteurs-de-Loups, des badauds qui déambulent dans les rues de Bandol en grouinant. Ces Bidochons sont de véritables spécimens, surtout lui. De sa forte voix, il vient expliquer aux provençaux comment ils devraient faire. Retourne élever des oies et des cochons dans ton bled a-t-on envi de lui dire ! Comment les plaisanciers ont-ils pu confier la gestion de leur secte à ce malfaisant ?
 
Des personnages atypiques, on en a encore toute une flopé à Bandol. Un roman pourrait être écrit à ce sujet. A l’approche des élections, les prochains mois risquent d’être agités. Espérons que de nouveaux excités ne fassent pas leur apparition !

La Bande à Marco image
Marco, le pantin de Floflo directement parachuté de Toulon et exerçant son activité de parleur à Paris déclarait qu’il a été appelé des bandolais. Disons plutôt qu’il a été appelé par une bande de mafieux nostalgiques qui bénéficiaient des largesses municipales avant l’arrivée de Jojo. Parmi ces largesses, on retrouve, en autres, un loyer pour un local commercial a prix très avantageux, des amodiations accordées en toute opacité et des marchés publics passés en dehors de toute règle de concurrence relative à la fonction publique… sans parler des arnaques privées à la location saisonnière de voilier (mais cela ne nous regarde pas !). Bref, on a une belle bande d’escrocs qui ont banni de leur vocabulaire les termes de « prise illégale d’intérêt » et « clientélisme » tellement ils les pratiquent et qui espèrent pouvoir de nouveau profiter sur le dos des contribuables des générosités d’autrefois. De vrais ripoublicains dont les anticoriens vont se délecter d’afficher les noms de tout ce petit monde une fois les candidatures déclarées officiellement. Etaient également présents Marcello, le gigolo bandolais qui misa toute sa vie sur le mauvais cheval au point d’être toujours reléguer au rang de second et l’ancien chef de file, Cricri, qui s’est fait virer à deux reprises par les bandolais tant ses actions relevaient de l’escroquerie. Le coucou et la veuve de la défunte momie était également là. De même que le docteur mamour (enfin, il ne faut rien avoir d'autre sous la main). Il ne manque plus que le soutien de l’obsédé sexuel pour compléter le tableau ! Mais la bande à Marco ne se limite pas à ces aigrefins porteurs de valises de casseroles. Ennemis hier, amis aujourd’hui, il semblerait que tout ce petit monde soit atteint de la maladie d’Alzheimer. Est-ce qu’ils auraient oublié que hier encore ils s’invectivaient publiquement en se traitant de tous les noms d’oiseaux ? L’épicière portuaire disait-il ? Le gogol disait-elle ? La cagole disait-elle ? Dépressive, ivrogne, bestiasse, mastre, pacoulin, cul cousu, counas, fangoule, fiffre, radasse, grognasse... Avec la troupe à Marco, on ne va pas s’ennuyer car tout suppose que dans pas longtemps, ils rejoueront le sketch de l’équipe B contre l’équipe A, voire même contre l’équipe C. D’ailleurs, Floflo, la Miss popotin de la plage qui a trahi ses électeurs, avait jadis saisi la justice pour les propos qu’un excité de la bande à la Laéti tenait à son sujet. Les écrits sur le blog de Jeanie au sujet de Floflo sont aussi à relire !
Marco c’est le type qui ne comprend pas grand-chose à la vie bandolaise mais qui n’a pas hésité à ouvrir une page de campagne à son propre nom. On voit bien à quel bonhomme on a affaire ! Quand il parle, on a l’impression que cet alpaga essaie d’hypnotiser son auditoire comme un ex-premier ministre qui passa son temps à endormir les français. Question politique et avenir de notre commune, son programme est d’ailleurs clair. Comme Pierrot, Lolo et Mumu, Marco ne promet ni une baisse des impôts, ni un maintien de son taux actuel, mais propose d’avoir à ses côtés une adjointe aux bestioles dont le rôle sera de s’occuper de nos amis les bêtes. Remarquez, elle aura de quoi faire dans cette équipe car des bêtes, il n’en manque pas ; à commencer par la promenade du toutou toulonnais de Floflo dans les rues de Bandol ! Espérons que la zoothérapie qu’il propose dans son programme ne se transforme pas en zoophilie. En plus de cette adjointe aux métazoaires, notre toulonnais/parisien propose également dans son programme de former un agent de la police municipale à la cause animale. Il est vrai que Bandol est une commune du Var où le nombre de policier par habitant est un des plus élevé et comme ils s’ennuient, il vaudrait mieux les occuper à courir derrière les chiens, les chats et les gabians, et à aller faire pisser Mirsa ! Ce baveux (au sens propre et figuré du terme), comme le nomment ses ami(e)s et ceux qui le côtoient, propose aussi d’ouvrir un EHPAD (maison de retraite) supplémentaire pour rajeunir la ville. Ça il fallait l’inventer !!! On a l’impression de revenir au temps de Cricri qui nous organisait le salon du 3ème âge où les stands des pompes funèbres arboraient leurs produits boisés le long du Quai De Gaulle. Remarquez, il envisage peut-être de transférer le trône municipal dans cet établissement où il établira son dernier domicile familial. Ce type aux idées socialocommunistes est bien capable de transformer Bandol en annexe de la Cité Berthe. On peut s’interroger quant à ses intentions ? Est-il le poisson-pilote de ceux qui rêvent de voir un jour Bandol s’effondrer en pleine gloire ascendante afin que leurs communes puissent briller de mille feux ? Ça en a bien l’air ? Agirait-il en sous-marin pour Fifi (dit l’eau minérale sans bulle), Bernard l’Hermite (dit le grand magouilleur), Jean-Seb (dit le cycliste) ou autres ? Avec ses idées farfelues, on comprend maintenant pourquoi cet ancien fonctionnaire de l’Etat qu’on expédia dans le Cantal n’a pas occupé de fonctions plus honorables dans son administration au cours de sa carrière et qu’il fut viré du parti politique dont il était adhérent. A ce sujet, Pierrot, l’ex de Fred, nous explique sur son blog comment ce pecnot, ex-candidat à la Mairie de Toulon, avait favorisé la division et fait perdre son camp, à deux reprises, dans les années 2000, ce qui valut à ce traître le titre de « diviseur qui disait que des conneries » selon le défunt Dani, un député très honorable. Entre soif de pouvoir et soif d’or, la diviseuse Floflo et la bande à Laéti championne de la pagaille, nous risquons d’assister à un véritable cirque dans les prochains mois, ce qui occupera Fred, notre Brigitte Bardot locale dont jadis Floflo et Laéti disait le plus grand bien.


Mumu c’est l’excitée en chef du village qui ne stationne que sur les places réservées aux handicapés. Remarquez, comme il lui manque un grain à son chapelet, elle n’a pas besoin d’une carte pour faire valoir ce droit à prendre les places de ceux qui en ont réellement besoin. Mumu c’est aussi celle qui lorsqu’elle manœuvre défonce le mobilier urbain mais qui aussitôt sortie de son auto prendra une photo de son œuvre pour se plaindre que la ville se dégrade à grande vitesse. Mais quand on l’interpelle pour lui signaler ce qu’elle vient de faire, elle vous envoie paître en disant « vous n’avez qu’à appeler la police ». Ce n’est pas la police qu’il faudrait appeler mais les brancardiers de Pierrefeu ! Comme Pierrot, Lolo et Marco, Mumu ne promet ni une baisse des impôts, ni un maintien de son taux actuel. La seule chose qu’elle propose, c’est d’augmenter considérablement le nombre de policiers municipaux. Mais avec quel argent ? et pourquoi faire ? Ne lit-elle par la presse locale qui nous expliquait il y a quatre matin que Bandol était une des communes les mieux dotées en la matière. Hormis ses talents de photographe et les milliers de photos qu’elle poste sur sa page Facebook ou sur son compte Instagram pour désinformer les administrés, on ne sait pas ce qu’elle fait de ses journées et comment elle envisage de gouverner si elle est un jour élue. Car Mumu, c’est celle qui critique beaucoup mais qui n’apporte jamais de solution. Elle bazarette beaucoup mais est muette comme une carpe quand on lui demande quelle solution elle envisage pour régler tel ou tel problème. Ici, on l’appelle aussi Yaca ! Pour se parfaire dans ses talents de Fakenewqueuse, Mumu a su s’entourer de Michou, le kéké boy de la French Riviera. Michou, c’est le tombeur de mamies. Il drague tout ce qu’il peut mais sans succès. Ses seules pêches, sont les rascasses du coin. Par contre, il faut reconnaître que ce benêt qui glousse tout le temps, est le véritable toutou de Mumu car on ne retrouve pas l’un sans l’autre. Avec ces deux asticots, nous retrouvons aussi Elisa, la follasse des totems. Elisa, c’est celle qui jadis dépensait l’argent du contribuable sans compter pour des réalisations inutiles. Elisa est un peu démago ; elle se prend pour l’indispensable du village. Elisa, c’est celle aussi qui ne se déplace jamais sans sa bicyclette électrique, ses clébards et son mec. D’ailleurs, on ne sait toujours pas qui est le clébard dans l’histoire car lui aussi est aux ordres de la cheftaine comme le sont ses petits toutous. Elisa et son petit bonhomme sont les girouettes du village, de véritables ingrats qui après avoir tourné le dos à Marcello, un ami de 30 ans, puis de Cricri lui aussi un grand ami disait-on, se retrouvent désormais aux côtés de Mumu dont les mots ne sont jamais tendre envers l’épicière portuaire qui jadis pilotait le comité de soutien de Cricri en échange de certaines largesses municipales.

La Bande à Mumu image
Lolo c’est le type qui se prend pour le beau gosse du village. Toutes ses interventions sont accompagnées de sa photo, en long, en large et en travers. Son nombrilisme est démesuré. Pourvu qu’il ne soit pas, en plus, pervers narcissique. La politique, il n’y comprend pas grand-chose mais comme Mumu, il essaie de jouer de ses talents de charmeur pour enfumer tout le monde. Sur son site, il n’hésite pas à sortir des photos d’antan pour faire croire que la ville est en mauvais état. Il va même prendre des photos des zones de travaux pour dire que tout est cassé. Son programme, il n’y en a pas et comme il ne sait plus comment faire, il essaie de faire parler de lui en proposant de construire des logements sur la mer avec un marché flottant. Il ne faudra pas avoir le mal de mer ! Lui s’est lancé dans la campagne, comme cette ignare de Floflo, un peu pour préserver les avantages dont il bénéficie. Il ne veut certainement pas que son entreprise soit expulsée des locaux qu’elle occupe. Pour l’instant Lolo ne s’est entouré de personne pour mener sa campagne. Remarquez, il vaut mieux être seul qu’entouré, comme Marco, d’une bande d'aigrefins qui passeront leur temps à piller la ville et à bouffer sur le dos du contribuable. Lolo, comme Mumu, Pierrot et Marco, ne promet ni une baisse des impôts, ni un maintien de son taux actuel mais il se ballade avec une camionnette à son image comme le faisait jadis Cricri. Ça en jette ! Distribution de café… comme pour le SAMU social.

Lolo bénéficie toutefois du soutien de JP, l’assureur, dont l’ancêtre avait été bafoué par Marco (c’est dire de quel siècle est notre parachuté toulonnais/parisien). Mais, JP ce n’est pas vraiment une référence. C’est surtout la girouette qui courut après les étiquettes aux dernières élections afin de pouvoir être élu coûte que coûte. Car, chez JP, l’important c’est de faire de la politique de père en fils, en sœur et de pouvoir en vivre. Pour l’instant Lolo, c’est l’outsider. Pas très connu des bandolais, il peine à se faire entendre malgré ses idées farfelues. A ce stade, nous ne pouvons que lui conseiller de se réveiller et de trouver rapidement des acolytes plus honorables que ceux de Marco.


La Bande à Lolo image

Dans la bande à Pierrot, l’ex de Fred, nous retrouvons toute une bande de déçus qui après avoir couru après Floflo et après avoir enfin compris que sa seule et unique ambition obsessionnelle n’était pas Bandol mais d’insérer son tafanari sur le trône municipal, ont finalement rejoint Pierrot. Avec Pierrot, ça va filer droit ; lit au carré tous les matins, sonnerie du clairon à 6h tapante, fini les crottes de chien sur les trottoirs, fini les stationnements anarchiques, fini les torses nus… ne vous en déplaise, les règles seront appliquées ! Comme Marco, Lolo et Mumu, Pierrot ne promet ni une baisse des impôts, ni un maintien de son taux actuel mais il a quelques idées pour Bandol. Pierrot à toutefois un gros problème ; ses colistiers. Si Manua a la tête sur les épaules et reste lucide, d’autres n’ont ni inventé la poudre, ni l’eau tiède et encore moins le fil à couper le beurre. Véro, elle finance, donc difficile de s’en séparer car le nerf de la guerre, c’est le pognon. Donc, c’est au prix des biftons que cette dernière a négocié sa place de 1ère adjointe. Puis, nous avons Lola et Doumé, les inséparables. Eux arpentent, de bescanti, les rues de long en large à la recherche du moindre indice pouvant créer la polémique. Lola c’est la bartavelle du village. On l’appelle ainsi à cause des ragots qu’elle colporte. Doumé c’est le bestiari bòfi qui serre les fesses en marchant mais qui est prêt à foncer tête baissée, sans réfléchir, comme un sanglier effarouché. Avec lui, le dialogue, il n’y en a pas. Soit tu es d’accord avec lui, soit tu dégages. Comme on dit ici, c’est surtout une grande bouche avec de petits bras. Si pour l’instant, on ne voit pratiquement que ceux-là sur le devant de la scène, heureusement que dans l’arrière-boutique nous n’avons pas que des tchoutchous. Il y a aussi quelques personnes respectables, comme Thie, et dévouées à la cause bandolaise. Toutefois, pour gagner les élections municipales en mettant en avant que les broques, il faudra en déposer des cierges auprès de Saint François de Sales et partir en pèlerinage au moins une fois par semaine au sommet du Roustagnon avec des pois chiches secs dans les chaussures.

La Bande à Pierrot image
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Jojo c’est l’édile du moment. Il n’est pas très bavard, ni grand communicant. C’est d’ailleurs son grand défaut. Pour tous ceux qui briguent sa place, c’est l’homme à abattre, et à n’importe quel prix, même celui du mensonge, de la désinformation et des saloperies en tout genre… Bref, une campagne sale dont le remplaçant (s’il y en a un) pourra se regarder « fièrement » tous les matins dans le miroir de sa victoire. Face à cette horde de chiens enragés, Jojo essaie de se défendre tant bien que mal. Visiblement, l’honnêteté ce n’est pas quelque chose de très appréciée à Bandol. Avec Jojo, il n’y a pas eu d’augmentation des impôts locaux durant son mandat. La seule augmentation est celle qu’il a dû subir à cause de la stupidité de la bande à Laéti qui avait décidé de rejeter le budget de sa propre majorité pour des ambitions personnelles ; être khalife à la place du khalife car elle pensait qu'avec ses six voix de moins que Jojo elle pouvait s'octroyer le droit de régner sur le trône à sa place. Jojo, c’est aussi lui qui assainit les comptes municipaux, au prix de grands sacrifices (quand on a plus les moyens, il faut éviter de rouler sur l’or sauf si on envisage comme ses challengers de faire payer davantage les contribuables !) et qui diminua la dette que les bandolais transmettront aux générations futures (sauf si on envisage comme ses challengers de dépenser sans compter). Jojo c’est aussi celui qui refusa d’être le vassal du Seigneur du village voisin et qui arrêta toutes les magouilles municipales au point de se mettre à dos tous les escrocs et mafieux de la ville. Avec lui, fini les amodiations concédées aux amis et amis des amis, fini les loyers en dessous du prix du marché, fini les avantages en tout genre…. Bref, des ennemis, il s’en est fait et un paquet, ce qui lui vaudra peut-être son siège ! Un des arguments de campagne de ses challengers et de dire « regardez ce qu’il se passe dans le village voisin ». Certes, mais personne ne leur répond qu’avec deux fois plus d’habitants, on a deux plus de dotations et on peut faire deux fois plus de chose. Allez regarder les villages de même taille, comme celui à l’Est de Bandol, s’ils font autant que nous ! Jojo, c’est aussi celui qui entreprit les grands travaux tant critiqués par ses opposants qui avouent en privé que le résultat n’est finalement pas si mal mais qui disent le contraire en public au risque de se parjurer. Attendons la suite car contrairement à ses opposants qui ne proposent rien, Jojo a des projets plein la tête pour faire de Bandol le Monaco varois, notamment avec une nouvelle belle capitainerie, un nouveau parking sous le stade avec une toute nouvelle belle base nautique. Allez Gégé, dépose vite un recours pour empêcher les travaux, comme tu as su si bien le faire pour empêcher les travaux du port ou la création d’un beau restaurant au Capelan ! Avec Jojo, nous avons Francky, un des rares natifs du village. Francky c’est celui qui connait Bandol comme sa poche ; une véritable encyclopédie vivante que dénigrent et diffament honteusement en permanence les challengers de Jojo. Francky c’est aussi, un véritable amoureux de notre village prêt à y laisser sa santé pour que les autres y soient heureux. Francky dénonce toutes les magouilles du coin, parfois maladroitement, mais au moins il a le courage de le faire, chose que les challengers de Jojo se gardent bien de faire. On peut le saluer pour son courage car des roubignoles, il faut en avoir pour dénoncer les affaires couvertes par l’omerta, comme il faut aussi en avoir pour s’opposer à Bernard-l’Hermite. Pas sûr que les opposants de Jojo en fassent autant, eux qui envisagent déjà de faire alliance avec toutes les raclures du coin. Au côté de Jojo et Francky, nous avons aussi quelques personnalités appréciées des Bandolais. Dommage que certaines se soient laissés attirer par le chant des sirènes au risque d’être rétrogradé au rang de mafieux ou d’escrocs, étiquette qu’ils endosseront pour le reste de leur vie.


Les Autres image
Autour de tout ce petit monde, gravitent les autres. Parmi les autres, on a d’abord Jeanie, une blogueuse que personne ne lit tant sa maîtrise de la langue française est approximative. Jeanie a beaucoup écrit sur Floflo pour dénoncer ses pratiques manipulatrices et sa grande ignorance du fonctionnement d’une commune. Aujourd’hui, elle lui lèche les bottes et est même prête à voter pour l’équipe dont Floflo fait partie, non pas par conviction mais uniquement pour éliminer celui qui n’est pas copain avec le mentor de Laéti et qui empêche la bande de profiteurs bandolais de tourner en rond. D’ailleurs, le grand amour est aussi né entre Floflo, Cricri, Phiphi(s), Fred, Laéti, Marcello, JY… toute une bande de faux culs qui hier encore s’insulter sur les réseaux sociaux et les blogs locaux et qui aujourd’hui se lèchent chaudement la poire lorsqu’ils se croisent dans la rue. Comme quoi, il est bien vrai de dire que « les ennemis de mes ennemis sont mes amis » et peu importe les convictions, ce qui importe avant tout c’est le pouvoir et la magouille. Découvrir que tous ces cupides appartiennent à la même loge maçonnique n’étonnerait finalement personne !

A Bandol, on a aussi, Gégé, un véritable excité. On ne comprend pas quelles sont ses véritables motivations. Il dépose, avec son acolyte Nat, une excitée comme lui, recours sur recours rien que pour emmerder son monde et pour montrer qu’il existe. Frustré de n’avoir été que le vice-machin, en manque de reconnaissance, on a l’impression que cet ancien colonisateur d’outre-méditerranée qui se prenait jadis pour un Prinz veut se venger de n’avoir jamais été le grand chef tant adulé. Heureusement que nous ne sommes pas au moyen âge car cet inquisiteur en enverrait plus d’un à l’échafaud et au supplice. Et pour peu que tu lui mettes une moustache, tu aurais l’impression d’avoir à faire avec un revenant de Berlin. Gégé et Nat, défendent la nature, paraît-il ? Enfin, ça ne se voit pas encore car le vélo, ils ne l’utilisent pas beaucoup. Ils préfèrent, entre autres, encore utiliser des moyens de transport bien polluant qui rejettent dans l’atmosphère des gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique. Finalement, Gégé et Nat sont aussi responsables et coupables des phénomènes climatiques exceptionnels que les communes des bords de la méditerranée subissent depuis quelques temps. A ce titre, ces condamnables devraient également payer l’addition pour les dégâts dont ils sont responsables.

Guitou, c’est le Facebookeur excité dépressif fan de Mumu. Guitou est toujours présent sur Facebook, jour et nuit. A croire, qu’il n’a rien d’autre à faire dans la vie. Guitou a plusieurs pseudos si bien qu’il se mélange parfois les pinceaux. Il raconte tellement d’idioties qu’il est régulièrement bloqué par le réseau social. Guitou est très contrarié de ne pas avoir été le chef de la voiture orange et c’est pour cette raison, entre autres, que cet ancien syndicaliste a décidé de se renier et de soutenir des idées opposées à celles qu’il a défendues toute sa vie. Pourvu qu’il ne témoigne pas lui aussi de la sympathie pour le clan des escrocs !

Les Gratteurs-de-Loups sont pour Bandol ce que les Tuches sont pour Monaco. Ces marins d’eau douce pensent qu’ils sont les maîtres du port et que parce qu’ils ont un canot tout leur est dû. Comment les plaisanciers ont-ils pu leur confier la barre du titanic ? Ils sont bien capables de le faire couler avant même de sortir du port.

Lulu c’est l’innocent du village. Il croit tout ce qu’on lui dit sans réellement juger si les informations qu’on lui donne sont réelles.

Et puis on a Blandi, la parisienne de Facebook qui raconte tout et n’importe et à qui on a envie de dire retourne dans ta capitale avant qu’on ne t’y réexpédie par la poste. Athe, une ex-élu pas très lumineuse, qui profitait du système lorsqu’elle était dans l’équipe de Cricri et qui maintenant se permet de donner des conseils. Vevette une autre folasse de Facebook qui passe son temps à désinformer sur la vie locale…

Des comme ça, à Bandol, on en un paquet, tous aussi stouge les uns que les autres. Ils pensent tout savoir mais ne savent rien et surtout ne cherchent pas à savoir. Ils vivent dans l’approximation, croient ce qu’on leur dit, font courir des rumeurs, n’ont aucune capacité de réflexion et sont même prêt à renier leurs convictions politiques, payer plus d’impôts ou même faire élire une bande d’escrocs parce que… Bref, auront-ils le courage de se regarder dans le miroir au lendemain des élections ?


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